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La fin peut être le début...|Verlaine
Anonymous
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Lun 13 Avr - 12:32
Et même si la route est bien longue à la fin Et même si le doute nous fait serrer les poings L'amour nous rassure, brise le mur des incertitudes J'apprendrai à lire dans ton regard
Je serai le dernier des remparts Rien ne sera plus comme avant C'est le début, je le sens.(@AnastasiaMovie // beerus)
La fin peut être le début...


Abigail tourna légèrement le vase en Crystal du salon et se mit à sa hauteur pour l'observer. Oui. A présent, tout était parfait au moindre millimètre près. Aujourd'hui, son client, Verlaine Roussel, ne pouvait plus rien lui trouver à redire. Tout était impeccable, tout était parfait. L'anglaise avait une certaine maniaquerie dans son travail que ses collègues lui avait déjà reprochés, pourtant,  aujourd'hui, ce défaut avait été un atout considérable contre l'infâme client qui avait accepté ses services.

Alors que le silence pesait dans le manoir et qu'il n'était pas encore arrivé, elle se demanda si elle aurait approché cet homme si elle avait su tout ce qu'il avait fait pour la rendre folle. A son grand désespoir, elle aurait tout de même accepté. Non pas pour l'argent, elle vivait très bien sa vie même après le chèque à plusieurs zéros qu'il allait lui faire à la fin de cette visite. Mais plutôt d'un point de vue personnelle. Elle avait trouvé en elle une certaine détermination et une certaine fierté que jamais elle n'avait connu. Elle continuait à se reconstruire et, même si cela lui faisait mal de l'avouer, Verlaine avait été un élément de cela.

Verlaine...Qui aurait cru que cet homme soit aussi exigeant ? Après tout, elle aurait dû le savoir. Grande admiratrice de ses écrits, même du dernier qui n'avait pas eu de bonnes critiques, elle aurait dû comprendre le perfectionnisme de cet homme.  Mais elle avait préféré écouter ses envies plutôt que réfléchir et refuser l'offre. Elle regarda le salon et poussa un soupire. Cela faisait quatorze fois qu'elle reprenait la décoration, elle était si soulagée de voir cette pièce enfin terminée, pourtant, un pincement au coeur se faisait ressentir...Et après ? C'était la fin, n'est ce pas ?

Une fois qu'il aurait passer le pas de la porte, tout était terminé...Il n'y aurait plus de dispute sur la couleur du sofa, plus de pique sur le physique et le caractère de l'un et l'autre...C'était comme un mauvais moment qui devenait son contraire après les années passées...La nostalgie s’emparait d'Abigail alors même que ce n'était pas terminé. Il fallait qu'elle se reprenne.

Soudain, elle entendit la porte d'entrée, signal que son client était de retour au bercail. Elle épousseta son tailleur blanc qui mettait en valeur ses cheveux blond vénitien et s'apprêta à le saluer. La fin était enclenché et cela lui faisait un petit quelque chose...Elle était....triste? "Bienvenu chez vous Monsieur Roussel!





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Lun 13 Avr - 13:11


« La fin peut être le début … »



moodboard ϟ Tu tiras une longue taffe sur la cigarette qui dépassait de tes lèvres. La nicotine descendit jusqu’à tes poumons, libérant la morsure épicée souhaitée avant que tu n’expulses l’air par le nez. Tu n’avais pas fermé l’œil de la nuit ; les muses de l’inspiration t’avaient forcé à garder l’œil ouvert jusqu’à ce que le soleil rende toute tentative de sommeil impossible. Résultat, tu étais paradoxalement de mauvaise humeur – plus que d’habitude, si c’était encore possible. Tu t’étais dis qu’un café et qu’une cigarette t’aiderait à faire le tri dans ton esprit, mais après la troisième tasse de boisson mulâtresse, tu n’étais plus tellement sûr de cette éventualité.

Pourtant, s’il y avait bien un jour où tu devais être en forme, c’était bien aujourd’hui … Abigail Blackburn, la décoratrice que tu avais mandaté pour ta maison fraichement achetée, t’avait donné un rendez-vous pour te présenter le projet final. Enfin … Plutôt, le quatorzième projet final, puisque tu avais pinaillé sur absolument tous les détails, obligeant la pauvre femme à recommencer son travail, encore et encore … Pas ta faute, tu aimais trop la voir sortir de ses gonds et s’énerver sur la couleur que tu voulais donner au canapé. Il était si étrange que quelqu’un ose te tenir tête … mais tellement grisant.

Mais la farce ne pourrait pas durer tellement plus longtemps. Tu étais déjà étonné qu’elle n’ait pas rompu le contrat, surtout après les multiples fois où tu ne faisais qu’ergoter pour des futilités. Mais tu appréciais sa force de caractère, la façon qu’elle avait de te défier du regard et de te narguer quand tu avais tort. Tu aurais adoré refuser sa proposition une quinzième fois mais … Tu en avais marre de vivre à l’hôtel, également.

Alors tant pis, tu ravalerais ta fierté et tu accepterais sa proposition sans ciller – ou presque. De toute manière, tu avais aimé absolument tout ce qu’elle avait présenté, et tu savais qu’elle t’avait préparé quelque chose à la hauteur de tes attentes.

Dix minutes avant le rendez-vous, tu commandas un taxi pour te mener jusque là-bas. Tu savais très bien qu’il en fallait 15 pour se rendre jusqu’à ton nouveau domicile, mais tu avais envie de la faire attendre un peu, de voir l’agacement dans son regard au moment même où tu arriverais comme un roi. C’était plus fort que toi ! Tu aimais embêter cette femme.

Le taxi se gara sur le trottoir, et tu sautas de la voiture pour remonter l’allée avec des foulées rapides. Tu poussas la porte, sans sonner ou sans te manifester – après tout, tu étais chez toi – et fis quelques pas jusqu’à entendre la voix agréable d’Abigail dans tes oreilles.  

« Bienvenue chez vous Monsieur Roussel ! »
Sans pouvoir t’en empêcher, un sourire se dessina sur tes lèvres. Plus efficace encore que les trois cafés ou que la cigarette sur le balcon de l’hôtel, voilà qu’elle te déliait l’esprit d’une phrase futile.

« Merci, Mademoiselle Blackburn. Enfin, quant à dire qu’il s’agit de chez moi, il en va de votre décoration. »

Tu t’étais tourné vers elle, abordant un air nonchalant. Bras croisés sur ton torse, tu profitais de tes lunettes de soleil pour la reluquer impudemment. Elle portait un joli petit ensemble blanc qui mettait en valeur sa magnifique chevelure et sa peau ambrée. Tu avais envie de plonger tes doigts entre ses mèches fluettes, ou de caresser le chemin de ses veines avec tes lèvres.

Enfin … C’était un peu exagéré, quand même. Elle était jolie, voilà tout. Pas de quoi t’embarrasser, Verlaine. Il fallait que tu reprennes tes esprits ; et rien de mieux pour ça qu’une pique bien sentie, comme vous en aviez l’habitude, désormais.

« J’espère que votre travail sera à la hauteur de mes attentes … cette fois-ci. »

Sourire en coin, tu relevas tes lunettes et les percha sur ta tête, histoire de mieux observer la moindre expression qui traverserait son visage.


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Lun 13 Avr - 18:27
Et même si la route est bien longue à la fin Et même si le doute nous fait serrer les poings L'amour nous rassure, brise le mur des incertitudes J'apprendrai à lire dans ton regard
Je serai le dernier des remparts Rien ne sera plus comme avant C'est le début, je le sens.(@AnastasiaMovie // beerus)
La fin peut être le début...


L'odeur de cigarette froide arriva aux narines d'Abigail au moment même où Verlaine avait posé le pied dans son hall d'entrée. S'il y avait bien une odeur qui la répugnait au plus haut point, c'était celle-ci. Pourtant, chez ce client, cela faisait comme partie de sa personnalité. Elle avait comprit depuis longtemps que la nicotine était une sorte d’échappatoire autant que l'absinthe l'avait été pour le poète qui portait le même nom que lui. Parfois, elle l'imaginait griffonner quelques mots sur un papier, lors d'une insomnie, la lumière de sa lampe de bureau éclairant seulement la feuille. Pensif d'écrire le mot "regarder" ou "observer", il aurait coincé sa cigarette entre ses lèvres, laissant tomber ses cendres sur le bureau, quelques traces noires auraient été le témoin de cette  envie soudaine d'écrire.

Ses pensées vagabondes s'arrêtèrent quand il la rejoignit sur le pas de la porte du salon. Les portes de sa nouvelle caverne aux merveilles closes, elle l'observait. Il avait l'air atrocement fatigué, encore plus qu'habituellement. Les nuits devaient être bien longue et elle l’imaginait seul dans cette grande maison... Elle eut un peu de peine pour lui, il était, certes, égocentrique, cynique et jamais vraiment sérieux,Abi' était certaine que c'était avant tout un homme torturé qui s'était formé une espèce de carapace d'homme invivable. Le tout, c'était de réussir à casser l'armure qu'il s'était construit.

Le coeur de la presque cinquantenaire avait bondit dans sa poitrine en voyant le petit sourire de l'homme, il était franc et ne montrait pas une taquinerie future. C'est pour cela qu'elle se laissa aller à un sourire. Malgré qu'il est reprit cette nonchalance qui la désespérait , l'anglaise rayonnait. Jamais il ne pourrait dire quoi que ce soit cette fois-ci, parce que tout était parfait. "Bien entendu, mais je pense que cette fois-ci, vous vous sentirez parfaitement chez vous!

On pouvait dire tout ce qu'on voulait sur la subjectivité d'une décoration, Abigail, elle, faisait surtout au goût du client. C'était une question social. Elle tentait de toujours cerner la personnalité de ses clients afin de pouvoir créer l'intérieur qui leur plairait le plus. Bien entendu, ça n'avait pas été le client le plus facile, mais Verlaine Roussel était un homme plus complexe qu'il n'y paraissait. Elle le savait tout comme le fait qu'elle ne connaissait absolument rien de lui malgré les semaines, voir les mois, passé dans sa maison.

Cela faisait quelques minutes qu'il était déjà rentrer et il n'avait toujours pas enlever ses lunettes de soleil, encore une chose qui hérissait Abigail. Pourquoi garder des lunettes teinte alors qu'on était à l'abris du soleil ? Bientôt, elle n'aurait plus à se soucier de cela. Sa dernière petite pique arriva et elle la prit tel un super héros retournant le pouvoir contre l'ennemis. Elle avait même ce petit sourire victorieux sur les lèvres, tentant de ne pas exploser tant elle était confiante de sa décoration de salon. Malgré que vos attentes soient aussi hautes que votre égo, cette fois-ci, vous ne pourrez que vous avouer vaincu.

Et elle ouvrit alors les portes du salon tel un manteau d'arlequin au théâtre, attendant le petit truc qui n'irait pas parce qu'il y aurait forcément quelque chose, même si elle était sûre d'elle, elle avait apprit une chose fondamentale sur Verlaine Roussel : il avait toujours le dernier mot.




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Mer 15 Avr - 20:47


« La fin peut être le début … »



moodboard ϟ La voilà l’expression que tu attendais tant ! Le sourire qui s’était dessiné sur son visage était encore plus beau que les tableaux hors de prix que tu avais entreposé dans ton ancienne maison. Cette femme, en elle-même, tout entière, était la plus délicate des œuvres d’arts qu’il t’avait été donné de rencontrer. Tu en avais croisé des belles femmes au cours de ta longue vie. Mais des déesses, jamais. Elle semblait rayonner, et tu n’exagérais même pas quand tu disais qu’elle irradiait encore plus depuis que tu étais arrivé.

« Bien entendu, mais je pense que cette fois-ci, vous vous sentirez parfaitement chez vous! »

Elle avait repris cette expression assurée qui te plaisait tant. Juste pour l’emmerder, juste pour la faire chier, tu trouverais quelque chose à redire. Tu avais envie de voir son visage se métamorphoser. C’était tout simplement plus fort que toi. Le pire, c’est que tu ne culpabilisais même pas. Tu menais la vie dure à cette pauvre femme, et tu aimais ça.

« Malgré que vos attentes soient aussi hautes que votre égo, cette fois-ci, vous ne pourrez que vous avouez vaincu. »

Sans plus attendre, elle accompagna son geste d’un mouvement théatral, dévoilant le salon et la décoration qu’elle y avait apporté. Ton visage resta de marbre, bien évidemment ; car tu savais pertinemment qu’elle ne faisait que de te fixer pour y déceler tes émotions. Tu fis quelques pas dans la pièce, ce même masque sur le visage, alors que tout était… parfait. Tout était parfait. Putain, pour la première fois de ta vie, tu n’avais rien à redire.

L’énorme cheminée en brique était mise habilement en valeur par les sofas beiges qui la cernait. Des armoires habillaient le fond, avec les quelques bibelots que tu avais insisté à garder de ton ancienne vie. Au centre de l’étagère, tes trois bouquins étaient alignés militairement. Tu aimais sa décoration. Tu avais envie de te lover dans le canapé, avec tes quatre chiens, et de ne plus y bouger, observant le grand jardin qui s’offrait à toi à travers la véranda.

Mais pour chipoter, tu t’avanças quand même jusqu’à la cheminée, et vint passer ton doigt sur les armoires ouvertes adjacantes. Tu relevas ton doigt, le plantas devant tes yeux, et même s’il n’y avait strictement rien, tu déclaras tout de même :

« C’est poussiéreux. »

Tu soufflas sur ton doigt, et tu t’adossas contre l’étagère, posant ton regard sur la jeune femme qui était restée silencieuse.

« Et qui viendra me nettoyer ses grandes étagères qui prennent la poussière à cause de la grande baie vitrée ? Je ne crains qu’il ne s’agisse pas de vous, Mademoiselle Blackburn, sinon vous y auriez penser avant de les faire installer. »

Et toc ! Tu avais toujours le dernier mot. Même si la pensée d’Abigail, en tenue décontractée en train d’épousseter le salon tandis que tu profitais de l’observer depuis le canapé ne te déplaisait pas vraiment … Mais tu t’égarais, évidemment. Et jamais une femme comme elle ne se laisserait traiter ainsi par un homme. Pourtant, tu aimais bien la titiller avec ça. A force, elle allait te prendre pour le plus gros macho de la terre entière.


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Le salon de Verlaine !
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Jeu 16 Avr - 14:22
Et même si la route est bien longue à la fin Et même si le doute nous fait serrer les poings L'amour nous rassure, brise le mur des incertitudes J'apprendrai à lire dans ton regard
Je serai le dernier des remparts Rien ne sera plus comme avant C'est le début, je le sens.(@AnastasiaMovie // beerus)
La fin peut être le début...


Il fallait bien avouer que la première fois qu'Abigail avait vu Verlaine, il avait été à la hauteur de ses attentes. Malgré ses poches sous les yeux et sa cigarette aux bords des lèvres, elle l'avait trouvé séduisant. Il était tout à faire le style d'homme qu'elle aimait. De plus, son physique reflétait plutôt bien ses écrits. Parfois, on imaginait un écrivain d'une tel façon qu'on en attendait beaucoup le jour où on le rencontrait et, finalement, on en était déçu. Ni Emile Zola ni Victor Hugo n'avaient été le plus beau de leurs temps. Pourtant, Verlaine Roussel, lui, était parfait...Du moins, jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche et qu'il commence à envoyer de multiple piques à l'anglaise. Il avait un véritable don pour la rendre complètement folle. Pourtant, Abigail ressentait se besoin de l'avoir près d'elle, comme s'il était important pour son évolution. Elle s'était peu à peu rendu compte de cela en plus de comprendre qu'il hantait très souvent ses pensées.

Elle aimait lui montrer qu'elle était une femme affirmée et sûre d'elle et, même si ce n'était que très rarement le cas, aujourd'hui, elle était fière de ce qu'elle avait accomplit et surtout fière d'elle-même et ce n'était pas lui qui allait lui laminer le moral. Et ce, même si son visage était resté de marbre en découvrant la décoration du salon. Elle pouvait s'empêcher de le scruter. Il avait de beaux yeux noisette et des cheveux dans lesquels elle aurait bien volontiers mit sa main.  En se rendant compte de ce à qui elle pensait, elle se reprit et évita ce visage qui lui donnait tant envie de se rapprocher de lui.

Elle resta silencieuse, le laissant vagabonder dans la pièce, et puis il commença à râler. Au fond d'elle, elle en fut presque heureuse, cette demi-méchanceté lui avait presque manqué pendant ces quelques minutes. Elle lui fit un aimable sourire. La seule poussière que je dois ici se trouve à côté de la cheminé et fait environ 1m74. avait-elle dit en plantant ses yeux dans les siens. Chose qu'elle n'aurait jamais dû faire puisqu'elle s'y noya pendant quelques secondes. Ces mots n'était pas méchants, il était loin d'être un mouton de poussière mais il avait tendance à l'énervé et à lui faire lever les yeux aux ciel, chose qu'elle avait fait en entendant sa réaction.

Et puis il continua avec ces répliques, mais qu'importe, Abigail n'allait pas se laisser impression par les défauts qu'il trouvait à sa décoration, pas cette fois-ci parce qu'elle y avait mit tout son coeur. Elle s'approcha un peu de lui en lui répondant. Monsieur Roussel, je ne doute pas que vous trouverez une personne apte à faire le ménage chez vous. Cela m'étonne même que vous n'en n'ayez pas déjà une. Elle vous serait si utile en tant que punching-ball et augmenterait votre égo et votre machisme. Elle lui fit un petit sourire taquin. "Encore faudrait-il trouver quelqu'un qui reste...

En y pensant, Abigail aurait très bien plus continuer à décoré le manoir de Verlaine, elle avait apprit à ne pas faire attention aux mots durs de son client, mais elle savait que d'autres pouvaient être bien plus sensibles à cela. Il faut dire qu'elle avait déjà été tant blessée que plus rien ne pouvait l'atteindre.




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